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AUTOPSIE D’UN DÉSASTRE mensonge et corruption autour du Covid

Auteur(s) : Jean-Dominique MICHEL Jean-Dominique MICHEL

Revenant sur la crise présentée comme sanitaire des trois années écoulées, le livre propose une lecture critique des décisions publiques ainsi que la mise en lumière des influences qui l’ont conditionnée.

Site officiel de l'auteur Jean Dominique Michel

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  • 978-2-87434-209-7
  • 9782874342097
  • 2023
  • 320
  • Français
  • 15 x 23 cm

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30,00 € TTC

28,50 € TTC

ISBN978-2-87434-209-7
EAN9782874342097
Nombre de pages320
Parution 2023
Langue Français
Type de couverture Relié collé - Couverture souple
Dimensions 15 x 23 cm

Introduction :

Edgar Morin, qui a récemment célébré ses 100 printemps, à partagé son analyse que nous étions confrontés à une crise multidimensionnelle, totale, témoignant n'avoir été jamais confronté à un phénomène de cette nature et d’une telle ampleur.

Si les premières images de la nouvelle épidémie auxquelles nous avons tous été exposés étaient en effet particulièrement effrayantes (on se souviendra par exemple de passants tombant morts sur place dans les rues de Wuhan ou de l' »apocalypse hospitalière » vécue en mars 2020 en Italie du Nord, les données furent toutefois très rapidement rassurantes.

On observa en effet que le nouveau coronavirus n'était réellement dangereux que pour des personnes présentant de lourds facteurs de risque (comorbidités) ou d’un âge correspondant à l’espérance de vie. Les équipes de l'IHU Méditerranée-Infection, sous la direction du professeur Didier Raoult, montraient par ailleurs que l'utilisation combinée d'hydroxychloroquine et d’azithromycine, permettait de réduire la charge virale en quelques jours, prévenant dès lors le passage, chez les patients à risque, d’une phase respiratoire sans gravité à une phase vasculaire potentiellement fatale.,

La convergence de ces informations laissez donc augurer d’une issue favorable face à cette nouvelle épidémie

 

Première partie : comment on a transformé une épidémie banale en catastrophe

Les connaissances et les savoirs accumulés en santé publique est en matière de gestion des épidémies aussi solide qu'il est possible de l'être. Nous savons ce qu'il convient de faire et d'éviter, quelles sont les mesures qui sont efficace et celle qui ne le sont pas.

Le cauchemar de tout spécialiste honnête depuis le printemps 2020 aura été de voir toutes les bonnes réponses, validées et préconisées par la science, être systématiquement remisées au placard pendant que les gouvernements imposaient à leur population des trains de mesures reconnues de longue date comme étant inefficaces et destructrices.

Une virulente propagande d’état, relayée sans aucune distance ni esprit critique par les médias classiques, eut pour double conséquence d'empêcher la population d'avoir une compréhension raisonnable et honnête du problème et d'entretenir un état de panique dommageable et parfaitement contraire à l'éthique en santé publique.

Dès le mois d'avril 2020, il fut pourtant confirmé que la létalité du Sars-CoV 2 n’était en rien extraordinaire, d'un ordre de grandeur équivalent à celui d’une grippe un peu forte. Et que la population âgée de moins de 70 ans ne courait aucun danger particulier par rapport à  aucune autre année.

Si dans un premier temps, l'hypothèse de l'égarement des autorités politiques et sanitaires pouvait apparaître crédible pour expliquer les processus de prise de décision publique défaillants, de nombreux indicateurs convergents vinrent montrer que nous étions plus que probablement face à quelque chose d'intentionnel. 

Entre les campagnes d'attaques et de dénigrement systématiques visant les meilleurs experts, la production et la promotion d'une science littéralement frauduleuse y compris dans les revues les plus prestigieuses, le ficelage d'une pensée unique s’appuyant sur un discours crédible mais faux, il apparaissait de plus en plus clairement que nous étions face à l'instrumentalisation des ressorts d’une corruption systémique au service d‘un mensonge d'état et planétaire. La compréhension émergeait progressivement que nous étions face à une opération organisé, dont les auteurs d'ailleurs ne se cachaient même pas.

Le sociologue Laurent Mucchielli mit en lumière ce qu'il appela « la doxa du COVID », une articulation de 4 idées parfaitement fausses mais crédibles, assénées de manière massive dans le discours médiatico-politique.

Il apparut également d'emblée que nous faisions face à un gigantesque fiasco des données.  Les instructions de l'OMS sur le comptage des morts conduisait inévitablement à intégrer dans la mortalité attribuée au COVID une part importante de la mortalité naturelle. La surcharge chronique des hôpitaux fut mise à profit pour prétendre que les systèmes hospitaliers avaient été inhabituellement engorgés, affirmation pourtant contredite par les données officielles. L'utilisation dévoyée des tests PCR (à des taux de cycles d'amplification parfaitement déraisonnables) permit de faire croire que nous étions face à des « vagues épidémiques » qui étaient en réalité dès le printemps 2021 des vagues de « cas » décorrélées des malades. 

Nous nous trouvions donc face au ciselage d'un discours politique et sociétal littéralement fictif, entretenant un état de panique et de dogmatisme sanitaire au sein de la population.

Dans le même temps, toute les propositions utiles comme l'utilisation de moyens de prophylactiques ou des traitements précoces indiscutablement efficaces furent impitoyablement rejetées, à l'aide de tous les moyens utiles fussent-ils déloyaux ou même malhonnêtes.

On prétendit ainsi que nous étions face à une épidémie terrifiante, qu'aucune ressource se prophylaxie ou de soins n’existait, qu'il fallait donc que la population se terre et soit masquée pour survivre en attendant l'arrivée providentielle d'un vaccin à coup sûr salvateur.

Ce scénario entraîna une véritable psycho-pandémie tout en piétinant toutes les règles d'éthique et les bonnes pratiques en matière de science, de santé publique et de gestion des crises.

Le constat est donc implacable : nos autorités savaient ce qu'il fallait faire. Elles ont empêché que ce savoir soit employé, ont imposé à la place des mesures connues pour être inefficaces et destructrices. Ceci tout en faisant croire à la population qu'il n'y avait pas d'autres voie possible et que tous ceux qui osaient critiquer les décisions était de dangereux séditieux cédant aux sirènes du complotisme…

Le bilan de ces 3 années de gestion de crise est catastrophique. Les mesures de contraintes qui ont été imposés ont produit des conséquences désastreuses, notamment sur la santé mentale de la population et les conditions de vie socio-économique, a fortiori des groupes les plus prétérités.

Des tactiques psychologiques de manipulation et d'ingénierie sociale en été utilisées à large échelle, conduisant à un brouillage des repères. Ainsi qu’à un clivage au sein de la société entre les citoyens dociles d’une part et les dissidents d’autre part, avec l'apparition d'une forte violence mimétique des premiers envers les seconds, un phénomène typique des systèmes totalitaires mais profondément contraire aux valeurs de la démocratie et de l’état de droit.

De nombreux scientifiques parmi les meilleurs au monde dans le domaine de l’épidémiologie et de la santé publique soulignent que la science et la santé publique sont rien moins que démolies au sortir des trois années écoulées.

Comment expliquer cette mise en échec des bonnes pratiques et la manière dont nos gouvernements ont transformé une épidémie gérable en catastrophe? 

L'analyse des documents disponibles montre qu'il y a eu une substitution à la souveraineté des états et des savoir-faire existante en santé au profit d’un cartel international constitué des fondations Gates et Rockefeller, de l'OMS, de Big Finance, Big Tech et de Big Pharma. La Chine a donné le ton de mesures parfaitement contraires à la science et caractéristique d'un état totalitaire, qui se sont ensuite diffusées à travers tout l'Occident. Le sinistre docteur Anthony Fauci, pierre angulaire de la corruption institutionnelle des systèmes de santé aux États-Unis depuis plus de 40 ans, a ensuite imposé ces mesures toxiques à son propre pays pendant que l'OMS les transformait en recommandations mondiales.

Tout ceci porte donc la signature probable (c’est assurément l'hypothèse forte à ce stade) d'une opération criminelle de portée mondiale. La centaine de milliards de dollars de bénéfices associés à l’imposition comme seule porte de sortie de l’épidémie des injections géniques expérimentales comme un vaccin contre le COVID peut suffire comme mobile de cette opération. Le soupçon raisonnable existe toutefois que les bénéficiaires, actionnant les multiples ressorts de corruption disponibles au sein de nos démocraties, pourraient poursuivre des objectifs allant au-delà de cette simple avidité et relevant de ce qui est décrit en sciences politiques comme des « crimes d'état contre la démocratie. »

2/ PETITS CRIMES ENTRE AMIS

La 2e partie du livre explore les travées de cette corruption et de cette probable criminalité d'état. La corruption des systèmes de santé correspond à ce que l'on désigne en anglais par l'expression d' « éléphants dans la pièce » . Soit un phénomène massif, évident, dont tout le monde sait qu'il existe mais feint de ne pas le voir.

Dès le mois de novembre 2020, le British Medical Journal sonnait l’alerte dans un éditorial retentissant quant au fait que nous étions confrontés à un état de corruption des systèmes de santé  d’une gravité sans précédent, instrumentalisant les gouvernements et les agences de santé au profit d'un pillage des ressources publique dont les conséquences était un grand nombre de morts évitables.

Au lieu d'entendre et de donner suite à cette alerte, les autorités et les médias unanimes ont continué à prétendre qu'il n'y avait aucun éléphant dans la pièce ! L'exploration des multiples facettes de cette corruption d'état et de sa de la technostructure ainsi que des corps constitués, des pouvoirs comme des contre-pouvoirs, donne en effet le vertige.

À la corruption des systèmes de santé, il est aujourd'hui incontournable d'ajouter la corruption des mathématiques et statistiques utilisées pour la présentation des données, la corruption de la recherche et des publications scientifiques, la corruption des sociétés médicales et des universités, la corruption des pouvoirs exécutif, législatif et  judiciaire, le tout mis à profit au service des bénéfices éhontés de l’industrie pharmaceutique mais aussi d'un agenda mondialisé exprimé ouvertement par les responsables du Forum économique mondial de Davos ou des personnalités comme Bill Gates.

Ces opérations crapuleuses furent servies par une politique audacieuse et virtuose de propagande, de neuromarketing virgule et d'ingénierie sociale. Reniant ses fondamentaux déontologiques et éthiques (contenus dans la Charte de Munich), la presse se fit la cheville ouvrière de cette manipulation. Faisant preuve d'un parti pris quasi unanime en faveur de la doxa du Covid, refusant toute investigation sur les multiples scandales et problèmes posés, elle mit en œuvre de surcroît une opération reposant sur la notion classique en sociologie d’étiquetage et de stigmatisation des opposants. Avec des termes choisis comme « antimasques », « covidosceptioques », « antivxx » et bien sûr « complotiste ».

Il est connu que cette dernière étiquette, selon les analyses du professeur en sciences politiques américain Lance de HavenSmith,  sert à camoufler les crimes d'état contre la démocratie. Nous savons ainsi aujourd'hui que les gouvernements des démocraties aussi bien que des dictatures font un usage massif de stratégies de propagande, de désinformations, et de production de « fake news ». Dans une stratégie caractéristique d'inversion accusatoire, les autorités gouvernementales, les organisations internationales, la presse et les Gafam ont assuré une grande opération de couverture des multiples conspirations, documentées aujourd'hui, mise en œuvre autour du COVID.

Il en est résulté une dérive de nature totalitaire fondamentalement contraire à l'état de droit et à la démocratie.

Tous ces constats sont évidemment accablants quant à l'état de notre société. 

Ils ont toutefois l‘avantage de révéler en négatif la bonne marche à suivre pour reconstruire un état de droit ainsi qu’une société intègres et dignes de confiance. 

L'énormité de la dérive associée à la masse croissante d'informations disponibles à son sujet paraît intenable dans la durée. Les auditions en cours devant le Congrès américain, portant sur la collusion ayant permis d’instaurer une censure dans la presse et sur les réseaux sociaux, y compris des meilleurs experts scientifiques et d’études scientifiques validées dès lors qu’ils contredisaient la dérive sanitaire fournit des perspectives d'espoir indiscutables. 

Un mensonge de cette envergure ne peut être maintenu très longtemps et nous pouvons donc d'ores et déjà anticiper que le constat dressé dans ce livre sera utile pour l’analyse post-mortem de ce qui nous a été imposé. Ainsi que pour la définition des garde-fous à mettre en place et des changements radicaux à opérer dans les processus de décision publics, avec la nécessaire limitation de l'influence de pouvoirs parapolitiques, économiques et financiers disproportionnés.

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Auteur(s)

Jean-Dominique MICHEL

Jean-Dominique MICHEL

Anthropologue, expert en santé publique, Jean-Dominique Michel est un spécialiste des déterminants de la santé, de la salutogenèse et de l’adéquation entre les dispositifs sanitaires et les besoins de la population. Ses interventions au cours de la crise Covid ont rejoint des millions de personnes et reçu un très large soutien au sein de la communauté scientifique. 

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