Editions marco pietteur

Nous vivons depuis des décennies dans ce que le professeur Exley appelle « l’ère de l’aluminium ». En effet, il se cache (autant qu’il est caché) partout : eau du robinet, terres agricoles, aliments, thé, café, lait maternisé, crèmes solaires, déodorants, cigarettes électroniques, médicaments, vaccins… Difficile d’y échapper. Nous y sommes donc tous plus ou moins exposés, or il finit dans notre organisme. Il n’a pourtant rien à y faire, n’ayant aucune fonction biologique. Le problème, c’est qu’il est potentiellement dangereux.

L’Autorité européenne de sécurité des aliments a établi des seuils de sécurité, mais ils sont basés sur un très petit nombre d'études animales d’une qualité douteuse. Les travaux d’Exley, plus convaincants, ont révélé que les niveaux d'aluminium dans les cerveaux des autistes, des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer et de la sclérose en plaques sont systématiquement beaucoup plus élevés que la moyenne. En fait, les publications scientifiques évaluées par les pairs démontrent sans équivoque la toxicité de l'aluminium pour tous les êtres vivants, et l’association entre la charge corporelle d'aluminium et les maladies chroniques a été définitivement établie par la science.

Au fil des chapitres, écrits spécialement pour des non-scientifiques, Christopher Exley répond à la plupart des questions que l’on peut se poser sur l’aluminium et la santé humaine, tout en nous racontant ses aventures de chercheur. Il fournit aussi de précieux conseils pour réduire notre exposition à l’aluminium et l’éliminer de notre organisme. L’un de ses remèdes : l’eau minérale riche en silicium. Enfin, on apprend que certains grands intérêts financiers (parmi lesquels la Fondation Bill & Melinda Gates) œuvrent activement à empêcher l'émergence de toute vérité dérangeante. Notamment, s’il est déjà difficile d'obtenir un financement pour des travaux scientifiques honnêtes et de qualité, le professeur Exley a pu constater à ses dépens que les choses se gâtent lorsqu’on suggère simplement d’étudier la sécurité de l’adjuvant aluminique des vaccins.